The Wedding Present : Tournée du 40ème AnniversaireDavid Lewis Gedge et son groupe semi-légendaire célèbrent un anniversaire spécial en live à travers la France en novembre 2025 !The Wedding Present est né à Leeds en 1985.Né des cendres d’un groupe appelé The Lost Pandas, The Wedding Present a été monté par David Gedge (chant et guitare) et Keith Gregory (basse), qui ont ensuite fait appel aux services de Peter Solowka (guitare) et de Shaun Charman (batterie).Le premier single du groupe ‘Go Out And Get ’Em, Boy !’ est sorti en mai 1985 et partage son titre avec le premier volume de l’autobiographie de David, dans laquelle il décrit les premiers jours où il jouait à Leeds et dans les environs.Depuis 1985, The Wedding Present a enregistré dix-huit tubes dans le Top 40 britannique, ce qui n’est pas mal pour un groupe qui, depuis ses débuts, a obstinément refusé de jouer le jeu de l’industrie du disque. Cet esprit avant-gardiste a toujours été au cœur de la philosophie du groupe. Depuis leur album ‘George Best’, le groupe a tracé une voie attrayante, bien que souvent excentrique, qui lui est propre.Le groupe prévoit plusieurs événements (dont une comédie musicale ‘Wedding Present’ !) pour célébrer ses quarante ans d’existence, dont cette vaste tournée à travers la France. Lors de ces concerts, le groupe jouera des morceaux de son vaste répertoire, dont plusieurs de leurs titres phares. Des invités très spéciaux se joindront à la tournée.The TubsThe Tubs est un groupe gallois basé à Londres, dont le style musical hybride mêle post-punk, folk britannique traditionnel et jangle pop, évoquant l’esprit des groupes de Flying Nun Records. Leur deuxième album, Cotton Crown, marque une évolution vers un son plus sombre et personnel, sans perdre l’énergie accrocheuse qui les caractérise.Porté par la voix expressive d’Owen “O” Williams, souvent comparée à celle de Richard Thompson, l’album explore des thèmes lourds — amour, maladie mentale, deuil — avec une honnêteté brute. Le morceau final, Strange, évoque les suites du suicide de sa mère, la chanteuse folk Charlotte Greig, dont l’image figure sur la pochette.Musicalement, l’album est riche et varié, passant du pub rock à la sophisto-pop, avec des influences allant de Husker Du à The 1975. La guitare de George Nicholls brille par sa versatilité, tandis que la section rythmique (Taylor Stewart à la batterie et Max Warren à la basse) insuffle une énergie power-pop intense.Avec Cotton Crown, The Tubs affirment leur place dans la scène rock indépendante, combinant profondeur émotionnelle et éclat pop avec une maîtrise remarquable.